HUMOUR. La deuxième édition du Festival de la blague, qui avait lieu du 1er au 4 août, s’est conclue avec l’humoriste Alexandre Barette, présent sur la scène de l’amphithéâtre Saint-François à Drummondville. Une édition avec moins d’insectes volants et de pluie que la précédente, et qui a eu du succès.
Au lendemain de la soirée de clôture du Festival de la blague, les organisateurs, aussi membres du groupe Les Trois Accord, sont fiers de cette deuxième édition. « La programmation a vraiment été appréciée de tous. Les gens ont fait de belles découvertes côté humoristes. C’est le cas avec Maude Landry, une humoriste qui est ressortie du lot », souligne Charles Dubreuil, responsable de la programmation.
Un service de bar et un camion-restaurant étaient présents sur le site. Les pourboires amassés par les bénévoles qui servaient les consommations retourneront à des organismes de bienfaisance. Un mur de brique était aussi installé pour que les spectateurs puissent prendre des photos avec leurs humoristes préférés.
Le Festival de la blague passait de deux à quatre soirées
Cette année, le Festival de la blague s’étendait sur quatre soirs, soit deux de plus que l’an passé. « Nous ne savons pas encore si cette formule va être renouvelée ou non. Nous allons en discuter afin de trouver le meilleur consensus pour l’an prochain », ajoute M. Dubreuil.
Il confirme aussi que : « la soirée de type comédie-club au Pub La Saint-Paix fût un grand succès ; les deux représentations étaient remplies. Arnaud Soly a fait un très bon travail comme animateur ». Puis, la soirée du jeudi soir à l’amphithéâtre n’a pas eu le succès escompté : « Il restait encore beaucoup de billets malgré une très bonne programmation », affirme en toute honnêteté le responsable de la programmation. Finalement, les spectateurs et le beau temps étaient au rendez-vous pour les soirées du vendredi et du samedi.
« Le format du festival, un animateur et six humoristes qui se partagent la scène, est sans aucun doute apprécié de tous. Reste à savoir si nous changeons le nombre de soirées offertes et la date du festival », conclut M. Dubreuil.
