NOMINATION. La directrice de la protection de la jeunesse Mauricie-Centre-du-Québec, Gina Landry, quittera ses fonctions à l’automne prochain pour la retraite. Robert Levasseur lui succédera.
En conformité avec la Loi sur la protection de la jeunesse et la Loi sur le système de justice pénale pour adolescents et des dispositions législatives en matière d’adoption, M. Levasseur aura à assumer la responsabilité de positionner stratégiquement la distribution des services sociaux à l’enfance, à la jeunesse et à la famille. Il aura également pour mandat la planification, l’organisation, la gestion et l’évaluation des activités en protection de la jeunesse, pour en assurer une trajectoire de services fluide et performante, et ce, en étroite collaboration avec le programme jeunesse – famille de l’établissement ainsi qu’avec les différentes ressources du milieu.
M. Levasseur détient un baccalauréat en psychoéducation et une maîtrise en administration publique. Possédant près de 30 ans d’expérience dans le réseau de la santé et des services sociaux, dont 13 à titre de gestionnaire, il occupe actuellement le poste de directeur adjoint réadaptation, délinquance et hébergement jeunesse. Il est notamment responsable des familles d’accueil résidant à Drummondville et travaille également au sein du pavillon Laforest.
«Je suis convaincu que M. Levasseur mettra toute son expérience au profit d’une application juste et respectueuse des Lois qui le régissent et que la passion qui l’anime pour le mieux-être des jeunes en difficulté et leur famille se traduira par une gestion sensible et rigoureuse. Je le félicite et lui souhaite tout le succès dans ses nouvelles fonctions», affirme Martin Beaumont, président-directeur général du CIUSSS de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec.
Le nouveau directeur entrera officiellement en fonction le 7 octobre et remplacera ainsi Gina Landry qui occupait ce poste depuis novembre 2013.
«Je tiens à reconnaître l’excellence du travail de Mme Landry qui a veillé avec rigueur, tout au long de sa carrière, au mieux-être des jeunes vivant des difficultés au sein de leur famille», souligne M. Beaumont. (CGM)
