Plus de 580 coureurs dans les rues de Drummondville

Plus de 580 coureurs dans les rues de Drummondville
Le départ des 580 participants se faisait au tour de midi quinze. (Photo : Simon Lévesque)

DRUMMONDVILLE. La troisième édition de la course Cégep en forme regroupait cette année plus de 580 participants. Cette course est le seul événement qui permet de regrouper, en un même endroit, près du tiers de la communauté collégiale de Drummondville.

Seuls les étudiants et le personnel du Cégep de Drummondville étaient invités à participer à cette course.

«Avec un événement où tout le monde sort dehors et vient bouger, je trouve qu’il n’y a pas plus bel exemple d’activité sportive. Le sentiment de course en groupe fait qu’il y a des coureurs de tous les niveaux. Notre but est que tous puissent venir participer à cette course qui promeut les saines habitudes de vie», explique le coordonnateur du Département d’éducation physique, Patrice Marcoux. Lors de la première édition, les organisateurs avaient enregistré 400 inscriptions, mais deux ans plus tard, c’est une augmentation de près de 200 personnes.

La course, d’une distance de cinq kilomètres, sillonnait les rues avoisinantes de l’établissement scolaire. Sur ce parcours, près d’une cinquantaine de bénévoles provenant de tous les départements s’impliquaient dans ce projet. «Comme directrice générale du cégep, voir l’ensemble du personnel mobilisé; les étudiants et nos employés qui sont soit bénévoles ou participants, c’est extraordinaire, précise Brigitte Bourdages. C’est beaucoup d’organisation, mais il y a plusieurs départements qui viennent aider comme les soins infirmiers pour les blessures, le programme de technique sonore pour la musique et bien d’autres départements.»

La course de ce midi était considérée comme l’ouverture des célébrations du 50e anniversaire du Cégep de Drummondville. M. Marcoux aimerait que cette activité sportive continue de prendre de l’expansion tout en restant un événement participatif et non compétitif.

«Nous voulons rester au niveau participatif, nous voulons que cette course reste pour tous. On dit que c’est une course, mais elle peut être faite à la marche, l’important est que les gens bougent et pratiquent une activité physique», termine Patrice Marcoux.

 

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