RÉGIONAL| Martin Farcy a été condamné par le juge Jacques Lacoursière, à la suite d’une suggestion commune, à une peine de 30 mois de pénitencier, à laquelle 18 mois de détention provisoire ont été retranchés.
Ainsi, depuis vendredi, Martin Farcy, de Victoriaville, doit purger 12 mois de détention.
Il a reconnu sa culpabilité à plusieurs chefs d’introduction par effraction, plusieurs méfaits.
Il a également plaidé coupable à des accusations de vols de moins de 5000 $, soit les vols d’une motocyclette et d’un vélo, de possession de cannabis et de méthamphétamine, de recel, de bris d’engagement, de menaces et de fuite.
L’an dernier, l’homme avait été en cavale. Il avait fui les policiers. Mais les policiers l’avaient retracé une nuit. Ils avaient tenté de l’intercepter alors qu’il circulait en motocyclette sur la piste cyclable à Warwick, mais l’homme avait alors refusé de s’immobiliser.
Les patrouilleurs l’avaient perdu de vue pour ensuite retrouver la moto à proximité d’un bois du rang 4 Ouest à Sainte-Élizabeth-de-Warwick.
Les policiers avaient, à ce moment, fait appel au maître-chien, ce qui a permis de localiser le suspect qui tentait de se cacher sous des branches.
Martin Farcy avait d’abord été arrêté une première fois le 29 mars 2016 en lien avec une série d’introductions par effraction dans des résidences et des commerces.
Un mois plus tard, le 29 avril, il avait pu recouvrer sa liberté en acceptant, toutefois, de séjourner dans une maison de thérapie. Mais dès le lendemain de son arrivée, les intervenants du centre ont contacté les autorités policières en constatant son absence.
En plus de la peine d’incarcération, le juge Lacoursière lui a imposé une période de probation de trois ans, de même qu’une interdiction de conduire pour deux ans. Il devra aussi, dans un délai de 18 mois, payer une suramende qui s’élève à plus de 6000 $.
