Le prix des maisons croît dans la région

Le prix des maisons croît dans la région
À Drummondville

IMMOBILIER. Pour une période de 10 ans entre 2006 et 2016, le prix médian d’une résidence a augmenté de 57% à Victoriaville et de 47% à Drummondville, alors qu’au Québec, le prix médian a crû de 53%.

Ces résultats proviennent du Portrait du prix des unifamiliales dans 100 villes du Québec effectué par Publication JLR. L’étude portait sur les 100 villes québécoises où le plus grand nombre de transactions ont été conclues en 2015 et 2016.

À Drummondville, 806 transactions ont été enregistrées en 2016 pour un prix médian de 173 000 $, une hausse de 3% par rapport à l’année précédente. Du côté de Victoriaville, on a dénombré 605 transactions en 2016 pour un prix médian d’une unifamiliale de 150 000 $, en hausse de 2% comparativement à 2015.

Toujours au Centre-du-Québec, 153 transactions ont été conclues à Bécancour en 2016 pour un prix médian de 146 000 $, ce qui représente une hausse de 12% sur un an et de 63% sur une période de 10 ans.

Par ailleurs, c’est à Thetford Mines, dans la région de la Chaudière-Appalaches, que les maisons se vendent le moins cher.

En 2016, on a recensé 257 transactions pour un prix médian de 103 000 $, 14 fois moins cher qu’à Westmount (prix médian de 1 410 000 $), ce qui représente une baisse de 2% par rapport à 2015, mais une hausse de 58% entre 2006 et 2016.

L’étude révèle, par ailleurs, que la Ville de Saint-Calixte occupe le haut du classement pour la hausse du prix médian des résidences unifamiliales en 2016 avec une augmentation de 25%, suivie de Bromont avec une hausse de 17%.

Mais c’est la région de l’Abitibi-Témiscamingue qui remporte la palme de la croissance sur 10 ans. Deux de ses villes, Val-d’Or et Rouyn-Noranda, ont enregistré les plus fortes croissances du prix médian des maisons avec des hausses respectives de 120% et 136%.

Le prix médian en 2016 est semblable pour les deux villes, 210 000 $ à Rouyn-Noranda et 209 225 $ à Val-d’Or. 

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