Aujourd’hui, les Éleveurs de porcs du Québec invitent les Québécois à célébrer la journée internationale du bacon en achetant et surtout, en cuisinant cette coupe de porc savoureuse.
En cette journée spéciale, les Éleveurs de porcs du Québec souhaitent aussi inciter les gourmands d’ici à ne pas attendre la période des Fêtes pour cuisiner ce produit exquis. En effet, les ventes de bacon atteignent leur apogée durant cette période avec des ventes de plus de 700 000 kilos. Les mois d’octobre et de février suivent de près.
Pourtant, avec son goût savoureux et sa texture croustillante, c’est un produit polyvalent qui peut rehausser n’importe quels plats, desserts ou même cocktails, peu importe le moment de l’année. Du bacon de dos, communément appelé bacon canadien, au bacon traditionnel, qui provient du flanc du porc, les possibilités sont infinies.
Les plus grands admirateurs de bacon sont les hommes de plus de 34 ans
Les Éleveurs se sont amusés à dépeindre le portrait de l’amateur type de bacon pour l’occasion. Bien que cette affirmation ne fasse pas l’unanimité, plusieurs sites spécialisés affirment que les hommes aiment plus le bacon que les femmes. Si l’on en croit un sondage datant de 2010, qui indique que l’arôme du bacon est l’odeur préférée de 23 % d’entre eux, il semblerait que ce soit vrai.
Donc cet homme aurait 34 ans ou plus selon un rapport de l’organisme américain National Pork Board, qui les considère comme les plus grands consommateurs de bacon. Il aurait également de jeunes enfants et aimerait cuisiner, puisque selon Olymel, les jeunes familles plus sensibles au prix ainsi que ceux qui aiment cuisiner sont ceux qui en achètent le plus. Finalement, il serait un adepte de brunch, puisque son panier d’épicerie contient aussi des œufs, du fromage tranché et des saucisses fumées ainsi que plusieurs autres éléments de déjeuner.
Selon de récentes données, les Québécois ont acheté environ 5 000 tonnes de bacon en 2014. «Acheter et cuisiner du bacon d’ici, ce n’est pas seulement bon au goût, c’est aussi un choix responsable pour l’économie québécoise et l’environnement», indique dans un communiqué David Boissonneault, président des Éleveurs de porcs du Québec. «D’ailleurs, les éleveurs porcins du Québec utilisent deux fois moins d’eau qu’ailleurs dans le monde pour produire le même kilo de porc», rappelle M. Boissonneault.
(AF)
