UNIVERSITÉ. L’UQTR est officiellement à la recherche d’un nouveau recteur. L’appel de candidatures a été publié cette semaine sur le site internet de l’établissement d’enseignement.
Le poste de cadre supérieur est vacant depuis mai dernier, soit depuis la démission de Nadia Ghazzali. Cette dernière a quitté ses fonctions dans la foulée de la publication du rapport de la vérificatrice générale du Québec. L’intérim est actuellement assuré par André G. Roy.
«Toute personne intéressée par le poste devra avoir une excellente connaissance du monde de l’éducation, notamment du milieu universitaire, ainsi que des structures et des valeurs de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et de l’Université du Québec. Elle devra aussi avoir une expérience reconnue en gestion et gouvernance, de même qu’une solide expérience en enseignement et recherche universitaires. Elle devra en plus posséder des aptitudes d’écoute et de communication, et être en mesure d’assumer le rôle de l’UQTR dans ses régions de rayonnement. Enfin, la crédibilité dans les milieux universitaire, régional et gouvernemental est essentielle», est-il indiqué dans la description du poste.
«Le recteur assume la direction de l’Université et est responsable de la réalisation de sa mission et de ses objectifs. Il est membre du conseil d’administration et préside le comité exécutif et la Commission des études de l’Université. Il siège également à l’Assemblée des gouverneurs et à la Commission de planification de l’Université du Québec», peut-on également y lire. L’appel de candidatures prend fin le 28 septembre.
L’UQTR, c’est…
Plus de 14 000 étudiants fréquentent l’UQTR, dont 65 % proviennent de l’extérieur de la région de la Mauricie. Plus de 230 programmes d’études y sont offerts et environ 450 professeurs, une trentaine de cadres, quelque 200 professionnels et 300 employés de soutien y travaillent. À cela il faut ajouter 600 personnes qui agissent chaque année à titre de chargés de cours. L’UQTR dispose d’un budget total de 160 millions $, dont près de 65 % sont consacrés spécifiquement à l’enseignement et à la recherche.
