Nouvelle clinique vétérinaire dans le paysage drummondvillois

Nouvelle clinique vétérinaire dans le paysage drummondvillois
Ève Biron

Les animaux de compagnie des familles des secteurs Drummondville-Sud et Saint-Nicéphore peuvent maintenant se faire dorloter et recevoir des soins à proximité de leur foyer. La Clinique vétérinaire Dre Ève Biron est nouvellement installée au 40, rue Bégin.

Plus précisément, la clinique est située dans les anciens locaux des restaurants La Forchetta et L’Entrecôte, voisins de la Caisse Desjardins La Poudrière. La vétérinaire et propriétaire, Ève Biron, a choisi ce secteur parce qu’il est en pleine expansion.

«Ce secteur est approprié, car non seulement plusieurs commerces ont ouvert leurs portes, mais aussi parce qu’il n’y a pas de services destinés aux animaux. Aussi, nous sommes situés à un endroit stratégique, tout près du boulevard Saint-Joseph où passent environ 33 000 véhicules par jour. De plus en plus de familles viennent également s’y installer», précise la vétérinaire qui a terminé ses études en 2007.

Les animaux et leur maître sont accueillis par une équipe de quatre professionnels dans un endroit spacieux et lumineux.

«Je suis tombée en amour avec l’endroit. Nous disposons de 5500 pieds carrés, sur deux étages, c’est très grand. Actuellement, nous exploitons 2700 pieds carrés, mais il est certain qu’à court terme, nous visons une expansion», affirme celle qui a investi 400 000 $ dans ce projet.

De fait, celle-ci projette d’aménager au sous-sol un service de toilettage complet ainsi qu’un espace réservé pour une pension. L’été prochain, elle compte également exploiter la terrasse extérieure pour accueillir les promeneurs de chien.

«Je me suis dit que ce serait tout indiqué avec les sentiers du Boisé de la Marconi situés tout juste derrière. Les gens pourront s’y reposer. Il y aura du jus et du café à leur disposition en plus d’un accès internet sans fil», explique-t-elle.

Qui plus est, Mme Biron souhaite voir le nombre de techniciennes passer de deux à quatre d’ici la prochaine année et embaucher un vétérinaire d’ici deux ou trois ans.

«Pour le moment, je me concentre à bâtir ma clientèle. Je suis satisfaite et même surprise de la réponse, car en à peine un mois, 110 clients différents ont fait appel à nos services», expose-t-elle, précisant que pour rentabiliser ses dépenses et bien vivre, un vétérinaire doit soigner 1500 animaux annuellement.

Partager cet article