La clinique vétérinaire des Voltigeurs ouvrira ses portes en janvier

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Par Lise Tremblay
La clinique vétérinaire des Voltigeurs ouvrira ses portes en janvier
La clinique des Voltigeurs ouvrira ses portes en janvier 2023. (Photo : Ghyslain Bergeron)

AFFAIRES. Les propriétaires d’animaux de la région auront bientôt une nouvelle option pour la santé de leurs petits protégés. Une nouvelle clinique vétérinaire ouvrira ses portes le 16 janvier 2023 sur le boulevard Saint-Joseph à Drummondville.

Le centre médical pour animaux sera situé dans l’ancien commerce Sportspro, au 1015 boulevard Saint-Joseph.

«En 2023, je vais célébrer 30 ans de pratique. J’ai toujours travaillé dans la région de la Montérégie. Ça fait donc 30 ans que je voyage!», a indiqué la vétérinaire Annie Lemyre, 53 ans.

La Drummondvilloise a déjà été propriétaire de deux cliniques en Montérégie. Elle a vendu la première en 2011; la seconde, en 2020.

«C’est un projet très stimulant que celui d’ouvrir une clinique dans ma ville. Mon but est d’être entourée d’une équipe de trois ou de quatre vétérinaires. J’ai commencé les entrevues, ça augure bien. J’ai déjà trouvé des techniciens, des animaliers et des réceptionnistes. Je devrais avoir une très belle équipe dans une ambiance familiale», se réjouit Mme Lemyre, qui a opté pour le boulevard Saint-Joseph en raison de l’absence de clinique dans le secteur.

Les travaux d’aménagement du bâtiment débuteront cette semaine et devraient s’échelonner sur quatre mois. «Je vais avoir trois salles de consultation et deux salles de chirurgie. Je me suis gâtée. Je vais installer des équipements neufs. On pourra faire des radiographies numériques, dont des radiographies dentaires. Les résultats seront disponibles en quelques minutes. Toutes les salles de chirurgie seront équipées d’un système de monitoring complet. Je sais ce dont on a besoin et les équipements nécessaires qui rendront notre travail plus plaisant», a-t-elle communiqué.

Étant consciente du manque de vétérinaire à Drummondville, Annie Lemyre espère être en mesure de répondre aux nombreuses demandes qui s’additionnent.

«Le problème a commencé à se faire sentir avant la COVID-19. Ça fait plus de deux ans que c’est difficile d’obtenir des rendez-vous. Les gens ont acheté beaucoup d’animaux durant la pandémie, ce qui fait que la demande est vraiment énorme actuellement. Évidemment, ce n’est jamais agréable de devoir attendre pour faire soigner un animal lorsque celui-ci est malade», a terminé la vétérinaire, qui a préféré ne pas révéler le montant de l’investissement.

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