ÉVÉNEMENT. La Société canadienne de la sclérose en plaques, section Centre-du-Québec, invite toute la population à participer à la 19e édition de la Marche SP le dimanche 29 mai prochain au centre communautaire récréatif Saint-Jean-Baptiste.
La Marche de l’eSPoir est non seulement une campagne de financement majeure, elle est aussi une belle occasion de témoigner son appui envers les personnes atteintes de la sclérose en plaques.
Cette année, la formule sera hybride : il sera possible de marcher tous ensemble au Centre récréatif St-Jean-Baptiste ou chacun dans son quartier pour amasser des fonds afin de stopper la SP. Les personnes intéressées peuvent créer une équipe ou faire un don. Qu’importe le montant, chaque contribution revêt une importance capitale pour la cause, mentionne Marie-Josée Boucher, directrice générale de la Société canadienne de la sclérose en plaques du Centre-du-Québec. L’objectif vise à amasser 25 000 $.
Le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, agit comme président d’honneur pour une troisième année consécutive.
«La sclérose en plaques touche plus de gens qu’on peut le penser et ces personnes ont vraiment besoin d’aide. La cause me touche, car ma mère s’est battue contre cette maladie plus de 30 ans. Pendant le mois de sensibilisation à la SP, je vous invite à vous informer sur cette maladie dégénérative aux symptômes sournois. On ne sait jamais qui et quand elle peut frapper», affirme Sébastien Schneeberger.
Les dons recueillis sont à la fois une contribution à la recherche, mais aussi un appui au maintien et au développement de services pour les personnes atteintes de la région du Centre-du-Québec, parce qu’en attendant de trouver le remède, il faut soutenir les personnes qui vivent avec la SP.
Au Centre-du-Québec, c’est plus de 300 personnes qui sont membres de la Société canadienne de la sclérose en plaques, Section Centre-du-Québec. La SP est la maladie neurologique la plus répandue chez les jeunes adultes du Canada. Chaque jour, 3 nouveaux cas sont enregistrés au Canada et les femmes sont trois fois plus susceptibles d’être atteintes que les hommes. (LT)
