MOBILITÉ ACTIVE. Toujours pour permettre la pratique de saines habitudes de vie et, du même coup, encourager la mobilité active, la Ville de Drummondville investira 855 000 $ dans la réfection de passerelles piétonnes en 2023.
Les passerelles des parcs Saint-Georges et Woodyatt, celle située derrière la résidence pour personnes âgées Manoir Drummond, au centre-ville, ainsi que la passerelle Prévost tout près du Cégep de Drummondville sont visées par des travaux.
«Elles sont beaucoup dégradées, donc pour s’assurer de la sécurité des citoyens, ces travaux s’avèrent nécessaires», précise Stéphanie Lacoste, mairesse de Drummondville.
Comme dans le cas des rues, un inventaire des passerelles est dressé par des firmes spécialisées. Celles-ci identifient les priorités d’intervention. Les décisions se basent ainsi sur des analyses et des faits, laisse entendre la mairesse.
Installations sanitaires
Par ailleurs, les amateurs de plein air pourront profiter de la commodité d’installations sanitaires quatre saisons à la promenade Rivia et à la Réserve naturelle du Boisé-de-la-Marconi.
«Au boisé, c’est attendu, parce qu’il y a beaucoup de petites familles et de plus en plus de CPE qui adorent venir se promener dans le boisé, mais sans toilette, ce n’est pas toujours évident», se dit d’avis la première magistrate.
Actuellement, une seule toilette sèche est à la disposition des citoyens.
Un bâtiment dans lequel des toilettes et lavabos seront installés lèvera de terre dans quelques mois à l’entrée principale du boisé, tel que prévu au budget d’investissement 2023.
Qui plus est, les salles de bains situées à l’entrée de la populaire promenade Rivia seront fonctionnelles à l’année dès l’été.
«Ces salles de bains n’étaient fonctionnelles qu’en période estivale, car ce n’était pas isolé alors on devait les hiverniser», indique Francis Adam, directeur général de la Ville de Drummondville.
Parallèlement, la Ville poursuit sa planification du prolongement de la Rivia, soit la troisième phase reliant le secteur Saint-Charles à celui de Saint-Joachim.
«C’est complexe, car on n’est pas propriétaire partout, donc ça demande du temps et de la planification. Il faut s’assurer que ce soit faisable. Alors 2023 servira encore à ça», explique Mme Lacoste.