NATIONAL. À partir du 14 juin prochain, l’ensemble des Québécois pourront utiliser l’application Uber pour se déplacer ou gagner des revenus.
Depuis quelques années, l’application Uber est utilisée dans les régions de Montréal, Québec et Gatineau. Dotée d’un permis obtenu auprès de la Commission des Transports du Québec, l’entreprise rendra dorénavant l’application disponible dans l’ensemble du Québec.
Afin de rendre l’application Uber encore plus attrayante pour les chauffeurs et donc améliorer la fiabilité du service pour les utilisateurs au Québec, Uber a récemment procédé à des modifications tarifaires avec une hausse de 11 % et a instauré un supplément temporaire pour l’essence.
«Ceci est un moment important pour Uber au Québec alors que nous allons collaborer à répondre à la demande de transport de personnes dans les quatre coins du Québec et ainsi participer au développement économique. Nous souhaitons aider à ce que des gens se déplacent pour aller souper au centre-ville de Trois-Rivières, assister à un festival à Sherbrooke et manger une poutine à Drummondville ou du homard en Gaspésie», a indiqué Jonathan Hamel, gestionnaire des affaires publiques pour Uber au Québec.
Au cours des derniers mois, plusieurs ont fait état de la demande importante pour des transports dans les régions du Québec. En lançant ses activités le 14 juin prochain, Uber souhaite collaborer afin de notamment répondre à la demande qui sera encore plus importante lors des vacances estivales.
«Le déploiement d’Uber dans l’ensemble des régions du Québec répond à un besoin important, soit celui d’une offre diversifiée et innovante de transport de personnes en dehors des grands centres urbains. Lors de notre participation aux consultations sur la loi 17, la FCCQ avait défendu l’importance de mettre en valeur les solutions technologiques dans le secteur des transports. L’annonce d’Uber bonifiera l’accès à un cocktail de transport diversifié pour l’usager, en plus de contribuer à l’activité économique des entreprises québécoises en région», a commenté Charles Milliard, président-directeur général de la Fédération des Chambres de commerce du Québec. (LT)