ÉDUCATION. Le Centre de services scolaire des Chênes (CSSDC) a adressé quatre demandes au ministère de l’Éducation du Québec pour remédier au manque d’espace dans les écoles primaires du territoire, visant les secteurs de Drummondville, Saint-Cyrille-de-Wendover, Notre-Dame-du-Bon-Conseil et Lefebvre.
À Drummondville, le CSSDC sollicite l’ajout d’une nouvelle école primaire, incluant trois classes de maternelle quatre ans, trois classes de maternelle cinq ans et 18 classes régulières de la 1ère à la 6e année. D’après le Centre de services scolaire, le manque de place est évalué à 478 élèves dans le secteur nord de la Ville de Drummondville.
«Pour la construction de l’école, on cible le secteur du parc Côté. Puisque c’est un terrain qui appartient à la Ville, il faut regarder avec eux la faisabilité, mais à ce jour, ça va très bien. On a certainement un bassin de clientèle dans ce coin-là. Il y a beaucoup de développement domiciliaire», soutient le directeur général, Lucien Maltais.
L’année dernière, cet endroit était convoité pour la construction d’une école primaire, dans le cadre d’une demande au ministère de l’Éducation.
Dans les municipalités
La construction d’une deuxième école primaire à Saint-Cyrille-de-Wendover est souhaitée par le CSSDC, d’une capacité de deux classes de maternelle quatre ans, deux classes de maternelle cinq ans et 12 classes régulières.
L’agrandissement de l’école primaire de Notre-Dame-de-Bon-Conseil fait partie des demandes, avec huit classes supplémentaires et un gymnase double.
L’acquisition, la démolition et la reconstruction de l’école Sainte-Jeanne-d’Arc de Lefebvre est toujours d’actualité pour le CSSDC. Cette institution scolaire fait partie des dernières écoles des ministres au Québec, l’autre était celle de Saint-Lucien
L’an dernier, le CSSDC avait fait deux demandes au ministère de l’Éducation afin de pallier le manque de place dans les écoles primaires. Elles avaient été rejetées.
Rappelons que le ministère de l’Éducation demande annuellement aux centres de services scolaire de lui faire part de leurs besoins d’ajouts d’espace dans le cadre du Plan québécois des infrastructures.