TENNIS. Deux jeunes joueurs formés au sein du programme sport-études de l’Association de tennis de Drummondville (ATD) poursuivront leur cheminement sportif et académique au sein du prestigieux réseau universitaire américain.
Âgée de 17 ans, Catherine-Isabelle Denysiewicz-Slowek a décroché une bourse qui couvrira la totalité de ses frais sportifs et scolaires à l’Université Miami, un établissement situé à Oxford, en Ohio. L’équipe féminine des RedHawks évolue dans la première division au sein de la conférence mid-américaine de l’association nationale du sport collégial (NCAA).
Occupant actuellement le 366e rang mondial chez les juniors au classement de la Fédération internationale de tennis (ITF) après avoir atteint le 349e échelon en janvier dernier, Catherine-Isabelle Denysiewicz-Slowek entreprendra des études en marketing à compter du mois d’août prochain.
De son côté, Jean-Christophe Baril a hérité d’une bourse qui couvrira la majeure partie de ses dépenses scolaires et sportives à l’Université Bryant du Rhode Island. Les Bulldogs évoluent également en division 1, au sein de la conférence nord-est de la NCAA.
Classé au 1998e échelon mondial chez les juniors selon l’ITF, Jean-Christophe Baril amorcera des études en administration des affaires internationales. Le jeune homme de 17 ans prendra également le chemin des États-Unis au mois d’août.
Au cours des derniers mois, les deux athlètes drummondvillois ont discuté avec plusieurs équipes de première division avant que leur choix s’arrête sur les universités Miami et Bryant. Leur entraîneur au sein de l’ATD, Sylvain Ruest, n’a pas caché sa fierté d’avoir contribué à leur réussite.
«Non seulement le niveau tennistique de ces deux universités est très relevé, mais ce sont aussi des écoles très réputées au niveau académique. C’est d’ailleurs le plus haut niveau atteint par des athlètes formés au sein de notre association et ayant fréquenté notre programme sport-études», a-t-il souligné.
«Je suis convaincu qu’ils auront beaucoup de succès dans leur carrière au niveau universitaire. Ce sera une belle aventure qui leur permettra de continuer leur évolution dans ces universités d’envergure. Qui sait : peut-être tenteront-ils ensuite leur chance sur le circuit professionnel?», a laissé entendre Sylvain Ruest.
Rappelons en terminant que la Drummondvilloise Amélie Allard évoluera avec l’équipe de l’Université Queens de Charlotte, en Caroline du Nord, à compter du mois d’août. Il s’agit d’un programme de deuxième division.