Le projet de Lab-école de la CSDC n’est pas retenu

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Par Cynthia Martel
Le projet de Lab-école de la CSDC n’est pas retenu
La cuisine à Marie-Rivier est devenue exiguë. (Photo : Gracieuseté)

ÉDUCATION. Le projet de Lab-école de la Commission scolaire des Chênes (CSDC) pour son secteur alimentaire n’a pas été retenu.

De fait, le gouvernement Couillard a dévoilé ce matin les sept établissements, dont aucun n’est situé dans le Centre-du-Québec, qui deviendront des écoles de l’avenir portées par Ricardo Larrivée, Pierre Lavoie et Pierre Thibault.

«Bien que nous soyons déçus, compte tenu du travail effectué dans la conception du projet et sa valeur ajoutée pour notre communauté, nous devons reconnaître le nombre important de projets soumis et la qualité de ceux-ci», commente Bernard Gauthier, secrétaire général de la CSDC et directeur adjoint au service des communications.

«Nous croyons toujours que le projet que nous avions déposé s’inscrivait parfaitement dans la démarche et les aspirations de notre centre de formation professionnelle et du dynamisme de la ville de Drummondville. De plus, il répondait aux trois grands critères développés par le gouvernement, dans le cadre des Lab-écoles : environnement physique, saines habitudes de vie et alimentation», ajoute-t-il, affirmant que le projet de Lab-École aurait fourni à la commission scolaire une belle occasion de redonner un élan à son centre de formation professionnelle.

On se souviendra que la CSDC a formulé à quelques reprises une demande en conformité avec le Plan québécois des infrastructures (PQI) afin de déménager les programmes offerts à Marie-Rivier dans un nouveau bâtiment, qui serait adjacent au Centre Saint-Frédéric. Ce projet de déménagement est devenu nécessaire considérant que les locaux sont devenus exigus et ne répondent plus aux normes en vigueur. L’équipement est aussi désuet et limite surtout de façon contraignante les projets de développement et même la mise en place des programmes reconnus par le ministère.

«Cette construction permettrait la réunion physique de deux autres points de service en formation professionnelle, en plus de répondre à une demande grandissante d’espace dans les écoles secondaires», rappelle M. Gauthier.

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