Du 9 au 13 avril prochains, se tiendra la Semaine des sciences humaines au Cégep de Drummondville où de nombreux conférenciers viendront partager le fruit de leurs recherches avec les étudiants et le grand public.
Sous le thème «Tous humains», cet événement permettra aux étudiants du collège, et au public, d’explorer gratuitement le vaste monde des sciences humaines. Ce sera aussi une occasion privilégiée de découvrir le travail de nombreux étudiants inscrits dans le programme Sciences humaines du Cégep de Drummondville.
En effet, ceux-ci sont appelés, tout au long de leur parcours scolaire, à réaliser plusieurs travaux de recherche d’envergure. La Semaine des sciences humaines, par l’entremise de conférences, d’ateliers, de débats et d’expositions, devient pour eux une tribune exceptionnelle pour présenter les résultats de leurs explorations.
«La Semaine des sciences humaines se veut une ouverture sur le monde; elle permet de voir autrement et de questionner différents sujets d’actualité. C’est également une belle occasion pour les étudiants de faire des liens avec leurs cours, souligne Michel Plunus, enseignant au Département des sciences humaines et responsable de l’événement. Les conférences sont ouvertes et offertes gratuitement à tous, autant aux étudiants de tous les niveaux, qu’aux citoyens de la région».
Des changements climatiques au féminisme
Aussi, la Semaine des sciences humaines offre une ouverture sur le monde et ses enjeux avec notamment des conférences sur la consommation responsable, la traite de personnes, les changements climatiques, le féminisme et les voyages.
La programmation complète est disponible au cegepdrummond.ca/ssh. L’inscription en ligne aux événements fortement suggérée et gratuite.
Rappelons que la Semaine des sciences humaines est une initiative du Département des sciences humaines du Cégep de Drummondville, soutenue par la direction du collège, le député de Johnson à l’Assemblée nationale, André Lamontagne, le député de Drummond à la Chambre des communes, François Choquette, l’Université Saint-Paul et l’Association des retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ). (JPB)
