FAITS DIVERS. Après quelques heures de ratissage de trois écoles secondaires de Drummondville, aucun élément suspect n’a été trouvé. Les appels à la bombe sont donc un canular.
C’est ce que confirme la Commission scolaire des Chênes (CSDC), dans un communiqué.
«Il en ressort qu’aucun élément suspect n’a été trouvé dans l’un ou l’autre des établissements (Marie-Rivier, Jeanne-Mance et La Poudrière), tant et si bien que les activités régulières n’ont pas été perturbées. Il y a lieu de conclure à un canular.»
Rappelons que peu avant 5 h ce mercredi matin, la direction de la commission scolaire, de même que les directions des écoles secondaires Jeanne-Mance, La Poudrière et Marie-Rivier, ont été informées par la Sûreté du Québec (SQ) que des «appels à la bombe» avaient été portés à l’attention du corps policier et que ces appels visaient ces trois établissements d’enseignement.
Rapidement, une équipe d’enquêteurs de la SQ, en étroite collaboration avec les directions d’établissement et les différents services de la commission scolaire, a entamé une fouille extérieure et intérieure des lieux ciblés.
Par ailleurs, et par mesure préventive, les enquêteurs ont également procédé à des vérifications à l’école Jean-Raimbault et au Centre de formation professionnelle Paul- Rousseau.
«Cela dit, on retiendra surtout que dans toute cette opération, la sécurité des élèves et des membres du personnel constituait la priorité des autorités policières et de la commission scolaire. Tous les intervenants ont agi avec toute la célérité possible», est-il écrit dans le communiqué.
L’enquête de la Sûreté du Québec suit son cours. La commission scolaire lui apportera
toute la collaboration voulue.