COMMUNAUTAIRE. Pour sa 26e édition, Le Spaghetton de la Société canadienne du cancer – région Centre-du-Québec (SCC-CQ) aura lieu au Collège Ellis le 5 décembre prochain.
Quelques changements sont survenus au cours des derniers mois, dont la fermeture de Restaurant Pub Le Charlemagne où se tenait l’événement depuis de nombreuses années. Cette situation à fait en sorte que le comité organisateur a dû revoir sa planification habituelle.
Ainsi, le Collège Ellis, qui était déjà un partenaire majeur de l’événement, a choisi de s’investir encore plus en prenant en charge toute la logistique du Spaghetton et en permettant sa tenue dans son établissement.
Ainsi, les étudiants de Techniques policières du Collège Ellis seront à même de démontrer tout leur leadership et leur engagement dans la lutte contre le cancer, en collaborant de façon étroite avec la SCC-CQ pour assurer l’organisation optimale de cette 26e édition du Spaghetton.
Impliquée depuis plusieurs années, UV Mutuelle a reconduit son appui en tant que présentateur officiel de l’événement.
La formule demeure la même, c’est-à-dire que les gens peuvent choisir le dîner ou le souper lors de cette journée qui vise à recueillir des fonds pour appuyer la mission de la SCC. Le billet est en vente au coût de 25 $ et il est possible de s’en procurer dès maintenant au bureau de la SCC-CQ au 209, rue Dorion à Drummondville. On rappelle toutefois que pour le repas du dîner, il est préférable de réserver tôt. L’objectif de cette édition a été fixé à 12 000 $.
Pour Yvon Lamoureux, responsable de l’encadrement des étudiants en Techniques policières du Collège Ellis, Le Spaghetton de la Société canadienne du cancer – région Centre-du-Québec est une occasion privilégiée pour l’ensemble de la population de Drummond de démontrer son appui à la SCC.
«Nous avons la chance, à Drummondville, d’avoir un centre de services aménagé au bureau régional sur la rue Dorion. Cela permet à notre population de pouvoir bénéficier rapidement de différents services offerts par la SCC, tels que le prêt de prothèses capillaires, les groupes de soutien mensuel, l’accueil par des personnes compétentes et une panoplie de documentation pour mieux comprendre les différents types de cancer, précise M. Lamoureux. Personne n’est à l’abri de la maladie et nous pourrions tous, un jour, devoir faire appel à la SCC. Il ne faut jamais oublier cela», de conclure M. Lamoureux.
