DRUMMONDVILLE. Le procès d’Anthony Ward et de ses deux fils Frédérick et Michaël, propriétaires de la Sportèque, débutera le 20 juillet prochain.
On sait que de nombreuses accusations, principalement reliées à la possession et l’entreposage d’armes prohibées, ont été déposées au palais de justice de Drummondville le 2 juillet 2013, suivant une importante rafle policière effectuée trois mois plus tôt dans des commerces, incluant la Sportèque, située sur le boulevard Saint-Joseph.
Les policiers avaient procédé à l’arrestation de six personnes, dont une de Drummondville, en lien avec un présumé trafic d’armes à feu.
Une des particularités dans cette histoire est que les policiers de la SQ s’approvisionnaient chez l’armurier Sportèque, mais les liens d’affaires ont depuis été rompus.
Anthony Ward a déjà confié à L’Express qu’il considérait cette série d’accusations comme de «l’acharnement de la part des policiers et que la justice saura bien démontrer en temps et lieu que nous sommes innocents».