COMMISSION SCOLAIRE DES CHÊNES.Selon Marie-Chantal Labrecque, candidate dans la circonscription #7, l’élection scolaire doit être considérée comme le plus important des exercices démocratiques, car elle porte sur l’avenir de notre société.
«Par l’éducation et la formation dispensée à nos enfants aujourd’hui, nous préparons la société de demain», fait valoir d’entrée de jeu cette professionnelle du milieu des assurances et mère de 4 enfants.
Celle-ci exprime du coup son désir de mettre son savoir-faire, son dynamisme et sa grande capacité de communication au service des citoyens.
L’une des priorités de Mme Labrecque est de consolider et clarifier le rôle des commissions scolaires et de mettre en place les moyens adéquats au service des écoles.
«La commission scolaire est une structure indispensable au bon fonctionnement de notre système d’éducation. Il ne faut pas se substituer aux directions d’écoles, mais développer et mettre à leur disposition les outils nécessaires pour faire leur travail. Les enjeux sont nombreux, on n’a qu’à parler du décrochage, des services spécialisés ou bien de la prévention de la toxicomanie dans les écoles. À cela s’ajoute les dossiers concernant le transport scolaire, les salaires, les conventions collectives. Ce sont les directions des écoles qui sont sur le terrain au jour le jour et il faut leur permettre de gérer efficacement chaque établissement et les soutenir dans leurs besoins», expose Marie-Chantal Labrecque.
Engagement
Selon sa vision des choses, les commissaires doivent travailler de concert et faire le pont entre les écoles et le ministère afin d’épurer les normes et les règlements pour permettre aux directions d’écoles de faire leur travail efficacement.
«Il faut surtout comprendre que les besoins de chaque école sont différents», insiste-t-elle.
«Mon engagement est celui d’être à l’écoute de tous les intervenants, établissements scolaires, parents et élèves, et de mettre en place les moyens nécessaires pour l’accomplissement de ce qui devrait être notre plus grande priorité : l’éducation de nos enfants», conclut Mme Labrecque.(GM)
