Le rapport du coroner Gilles Sainton confirme que la mort de Chantal Lavigne, décédée le 29 juillet 2011 lors d’une expérience de sudation dans un centre de thérapie énergétique de Durham-Sud, a été «violente».
La femme de 35 ans de Saint-Albert a succombé à un coup de chaleur et à une insuffisance multiviscérale. Le rapport du coroner est plutôt bref, considérant que trois personnes font face à la justice dans cette affaire. Gabrielle Fréchette, Ginette Duclos et Gérald Fontaine doivent répondre d’accusations de négligence criminelle causant la mort et causant des lésions. Leur procès se mettra en branle, en octobre, au palais de justice de Drummondville. Le coroner précise d’ailleurs que l’on connaîtra davantage les causes et les circonstances de la mort de Mme Lavigne durant les procédures judiciaires. Une autre personne avait éprouvé des problèmes de santé lors de l’expérience de sudation.