Afin de souligner ses 15 ans d’existence, le Carrefour jeunesse-emploi Drummond a organisé, le jeudi 27 mars dernier, un 5 à 7 afin de remercier sa clientèle, ses employés ainsi que ses nombreux partenaires.
Le 24 novembre 1998, le Carrefour jeunesse-emploi Drummond ouvrait officiellement ses portes. À cette époque, l’équipe était composée de 5 employés et occupait un petit local sur la rue St-Jean. L’achalandage annuel du CJE Drummond se situait alors à environ 250 clients par année.
Au fil des ans, plusieurs services et projets se sont ajoutés à l’offre de services du Carrefour jeunesse-emploi. Aujourd’hui, en 2014, le Carrefour jeunesse-emploi compte près de 15 employés et occupe la totalité des locaux du presbytère Ste-Thérèse. Depuis 15 ans, c’est près de 50 000 clients qui ont été accompagnés par le CJE Drummond via ses différents projets et services qui ne cessent de s’accroître et de se diversifier pour répondre aux besoins de la clientèle des 16-35 ans. Une des grandes forces du Carrefour jeunesse-emploi Drummond est sans contredit sa capacité d’adaptation et son innovation.
Les projets se sont multipliés en 15 ans
-En 1998 : services en recherche d’emploi, en clarification de choix de carrière ainsi qu’en entrepreneuriat jeunesse.
-En 1999 : "Place aux jeunes" et «Je gagne à travailler».
-Début des années 2000 : "Solidarité jeunesse", "Desjardins Jeunes au travail" et "Connexion compétences" en 2004.
-En 2005 : déménagement dans l’ancien presbytère de l’église Ste-Thérèse, au 749, boulevard Mercure.
-En 2007 : "Partenaires de la relève" remplace "Place aux jeunes".
-En 2008 : "JAM", "IDÉO 16-17" et "Jeunes en action" qui remplace le projet "Solidarité jeunesse".
-En 2009 : "Objectif carrière".
-En 2011 : "Jeunes-O-Boulot" en partenariat avec le Pavillon Laforest du Centre Jeunesse.
-En 2012 : "Intimidation = Dommage pour la vie".
-En 2013 : "PICAS", "Parlons d’argent" et "Employeurs en action".
-En 2014 : "Mr. Karma et le labyrinthe de la persévérance", "MAP (Mon attitude professionnelle)" et "SMS (Sensibilisation aux médias sociaux)".