16 comédiennes et comédiens excellent dans «Visa pour l’éternité»

16 comédiennes et comédiens excellent dans «Visa pour l’éternité»

Seize élèves de la concentration théâtre du CSB ont pu se mettre en évidence dans la pièce «Visa pour l’éternité». Accompagnés de Chantal Allard

Les 16 élèves de la concentration théâtre du Collège Saint-Bernard (CSB) ont dû faire appel à toutes leurs ressources et à leurs talents pour rendre comme il se le doit la pièce «Visa pour l’éternité» et, s’il faut s’en fier aux critiques, ils s’en sont très bien tirés.

«C’était la première fois que la concentration théâtre du Collège réunissait sur scène des élèves de la 1re à la 5e secondaire pour une pièce de fin d’année et un projet de cette envergure. Le plus grand défi de cette pièce résidait dans le fait que plusieurs des personnages étaient «morts» et que les personnages «vivants» ne pouvaient voir les morts. Dès lors, ce fut tout un travail d’adaptation pour les comédiennes et comédiens de ne pas regarder les personnages défunts lorsque leur rôle le commandait. À ce titre, les commentaires reçus de la part des spectateurs furent très élogieux envers les élèves, qualifiant le degré de difficulté de la pièce au-delà de celui d’une pièce de niveau scolaire», témoigne avec grand bonheur Chantal Allard, responsable de la concentration théâtre et metteure en scène.

Celle-ci souligne de plus que les nombreux textes à mémoriser et le niveau de diction, propre au français international, apportaient de nouveaux défis qui ont été relevés avec brio par les élèves.

Ce n’est pas sans raison, explique Mme Allard, que les répétitions de la pièce «Visa pour l’Éternité» furent nombreuses et qu’elles débutèrent dès janvier 2013 à raison de deux jours par semaine.

La concentration théâtre du CSB tient à remercier chaleureusement le Village québécois d’antan et Paul Allard grâce à qui il fut possible de recréer l’ambiance des années 1930, tant par le biais des costumes que celui du décor.

Des remerciements vont également à Nicolas Camirand, du Restaurant Saint-Hubert, pour sa commandite, sans oublier les parents qui, reconnaît-on, ont su épauler la cause de leurs enfants en donnant de leur temps pour le transport des élèves, ainsi qu’au démontage du décor. (GM)

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