Annick Bellavance se représentera comme conseillère municipale indépendante aux élections municipales du 3 novembre. C’est ce qu’a fait savoir l’actuelle représentante du district 9.
«Quand je me suis présentée en 2009, j’avais dit aux citoyens que je voulais être à leur écoute, présente et active dans le quartier. J’ai exercé ma fonction avec sérieux et j’y ai mis beaucoup de temps, d’énergie et d’ardeur en choisissant de le faire à temps plein. J’ai notamment initié des fêtes de quartier, en étant près des gens, en créant un comité de citoyens et un souper spaghetti pour favoriser les échanges. J’ai toujours répondu aux citoyens qui sont entrés en contact avec moi de façon professionnelle», a-t-elle exposé dans un communiqué transmis aux médias.
Annick Bellavance ajoute : «Je suis une personne d’équipe et j’ai travaillé avec les autres membres du conseil municipal dans le respect et malgré certaines divergences d’opinion. J’ai pu accomplir mes objectifs dans cet esprit tout en gardant en tête mes enjeux de campagne tout au long de ces quatre années: sécurité, environnement, pistes cyclables, vie de quartier, famille, échanges intergénérationnels, parcs et espaces verts, commerces de proximité, transport en commun et urbanisme. Je peux affirmer que j’ai touché à chacun de ses aspects dans mon mandat et que j’ai tout mis en œuvre pour accomplir ma tâche avec des résultats. Les citoyens peuvent s’attendre à la même implication et le même sens de recherche de solutions de ma part pour le prochain mandat».
Mme Bellavance planifie de refaire une assemblée de consultation au mois de juin. «C’est un exercice qui avait été grandement appréciée en 2009 et je tiens à ce que les gens participent à l’élaboration de mon programme encore cette fois-ci».
Elle précise que les citoyens peuvent se tenir informés quant à son programme via sa nouvelle page Facebook au www.facebook.com/AnnickBellavanceDistrict9.
On sait que Mme Bellavance aura un adversaire dans son quartier puisque Marco Béchard a déjà indiqué qu’il compte se présenter, stimulé, a-t-il dit, par «le référendum sur l’agrandissement du site d’enfouissement et la timidité des élus à prendre acte des résultats».