Mardi soir, la famille Larocque, à savoir Rodolphe, Pierre et Yves, bien connus par le biais du garage Montplaisir, une institution drummondvilloise ayant vu le jour en 1914, a ouvert son actionnariat à deux cadres de l’entreprise, soit Thérèse Marcotte, directrice générale qui œuvre au sein de l’entreprise depuis trente ans, ainsi que Alain Ginchereau, qui a agi à titre de directeur des ventes de véhicules neufs au cours des neufs dernières années.
Cette transaction permet à la famille Larocque de céder la direction journalière de l’entreprise à des gens compétents qui connaissent bien tous les rouages de la compagnie. «L’arrivée de Mme Marcotte et de M. Ginchereau permettra d’avoir une vision plus jeune. La famille Larocque vieillit et cette relève arrive à point nommé», a fait valoir Pierre Larocque, qui est toujours reconnu comme étant le président en titre de la concession drummondvilloise de GM par la maison-mère alors que son frère cadet, Yves, en est le vice-président. «Chez Montplaisir, nous avons toujours favorisé l’intégration verticale des employés. Cette transaction est également approuvée par la haute direction du franchiseur, à savoir General Motors du Canada. Les dirigeants du Garage Montplaisir sont persuadés que toute la clientèle saura bénéficier grandement de cette transaction», a fait savoir la famille Larocque.
Durant cette soirée spéciale, Pierre Larocque en a aussi profité pour informer la population que Denis Simard, qui cumule plus de 23 ans d’expérience au sein de l’équipe du garage Montplaisir en tant que directeur des ventes de véhicules d’occasion, a récemment accédé à une participation directe dans Occasions sans limites, un commerce qui se spécialisera dans la vente de véhicules d’occasion hauts de gamme et très hauts de gamme.
Par ailleurs, des projets en lien avec l’image de l’entreprise devraient s’amorcer sous peu. «Nous souhaitons rehausser l’image de notre commerce, notamment à l’extérieur, où quelques travaux seront effectués. Mais le principal, c’était d’assurer une relève à l’entreprise et, en ce sens, nous sommes très heureux. Avec tous les propriétaires orphelins de Pontiac et de Saturn, nous avons de quoi nous occuper», a fait valoir Pierre Larocque.